ï»żPourLa fĂȘtes des mĂšres, rien de plus mignon qu'un enfant qui rĂ©cite (ou qui recopie sur une belle carte) un joli poĂšme. Voici 7 oeuvres incontournables pour fĂȘter les
89 poĂšmes <23456Synonymes Dieu ProvidencePhonĂ©tique Cliquez pour la liste complĂšte cela celai celais celait celas celĂąt celĂ© cĂšle celĂ©e celĂ©es celĂ©s cĂšles cella cellas celle celles celui celui-lĂ ciel ciels cil ciliĂ© ciliĂ©e ciliĂ©es ciliĂ©s cilla cillai cillais cillait ... Au pied des monts voici ma colline abritĂ©e, Mes figuiers, ma maison, Le vallon toujours vert et la mer argentĂ©e Qui m'ouvre l'horizon. Pour la premiĂšre fois sur cette heureuse plage, Le cĆur tout Ă©perdu, Quand j'abordai, c'Ă©tait aprĂšs un grand naufrage, OĂč j'avais tout perdu. DĂ©jĂ , depuis ce temps de deuil et de dĂ©tresse, J'ai vu bien des saisons Courir sur ces coteaux que la brise caresse, Et parer leurs buissons. Si rien n'a refleuri, ni le prĂ©sent sans charmes, Ni l'avenir brisĂ©, Du moins mon pauvre cĆur, fatiguĂ© de mes larmes, Mon cĆur s'est apaisĂ© ; Et je puis, sous ce ciel que l'oranger parfume Et qui sourit toujours, RĂȘver aux temps aimĂ©s, et voir sans amertume NaĂźtre et mourir les memoriam III PoĂšmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Voter pour ce poĂšme 246 votes J'aime Ă changer de cieux, de climat, de lumiĂšre. Oiseau d'une saison, je fuis avec l'Ă©tĂ©, Et mon vol inconstant va du rivage austĂšre Au rivage enchantĂ©. Mais qu'Ă jamais le vent bien loin du bord m'emporte OĂč j'ai dans d'autres temps suivi des pas chĂ©ris, Et qu'aujourd'hui dĂ©jĂ ma fĂ©licitĂ© morte Jonche de ses dĂ©bris ! Combien ce lieu m'a plu ! non pas que j'eusse encore Vu le ciel y briller sous un soleil pĂąli ; L'amour qui dans mon Ăąme enfin venait d'Ă©clore L'avait seul embelli. HĂ©las ! avec l'amour ont disparu ses charmes ; Et sous ces grands sapins, au bord des lacs brumeux, Je verrais se lever comme un fantĂŽme en larmes L'ombre des jours heureux. Oui, pour moi tout est plein sur cette froide plage De la prĂ©sence chĂšre et du regard aimĂ©, Plein de la voix connue et de la douce image Dont j'eus le coeur charmĂ©. Comment pourrais-je encor, dĂ©solĂ©e et pieuse, Par les mĂȘmes sentiers traĂźner ce coeur meurtri, Seule oĂč nous Ă©tions deux, triste oĂč j'Ă©tais joyeuse, Pleurante oĂč j'ai souri ?In memoriam I PoĂšmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Voter pour ce poĂšme 243 votes<23456Les poĂšmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poĂštes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Jesuis trop amoureuse Ton amour me rend tellement heureuse Je suis sur mon petit nuage DĂ©jĂ entrain de rĂȘvĂ© de notre mariage Dans mes yeux brillent des milliers d'Ă©toiles J'aimerai que jamais notre ciel se voile poĂšme tu me manques court 4 Dans le ciel Ă©toilĂ© J'y ai vu un ĂȘtre Ă©merveillĂ© Il me regardait amoureusement Et moi je lui Les paroles de la comptine Des milliers de coquillages Des milliers de coquillages sur la plage Des milliers de fleurs dans les champs Des milliers d'oiseaux dans le ciel Mais seulement, seulement UNE maman !autre version Une Maman Des milliers d'Ă©toiles dans le ciel Des milliers d'oiseaux dans les arbres Des milliers de fleurs dans les jardins Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Mais seulement, seulement Seulement, seulement Seulement, seulement...une maman Par milliers aussi les coquillages Par millions nagent tous les poissons Mais il est un seul personnage Une Ă©toile qui brille Ă la maison C'est seulement, seulement... Si je ne suis pas toujours trĂšs sage Si souvent je veux avoir raison Aujourd'hui, on tournera la page Pour ta fĂȘte, je t'offre cette chanson Seulement, seulement Seulement, seulement Seulement, seulement... pour toi maman Seulement, seulement Seulement, seulement Seulement, seulement... une maman Desmilliers de gens ont vĂ©cu sans amour, pas un n'a vĂ©cu sans eau. WHAuden 1 Je pense que lorsque des milliers, puis des millions, et enfin des milliards d'individus se mettent Ă croire en la mĂȘme Il est pour la pensĂ©e une heure⊠une heure sainte, Alors que, sâenfuyant de la cĂ©leste enceinte, De lâabsence du jour pour consoler les cieux, Le crĂ©puscule aux monts prolonge ses adieux. On voit Ă lâhorizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants dâune robe qui traĂźne, Balayer lentement le firmament obscur, OĂč les astres ternis revivent dans lâazur. Alors ces globes dâor, ces Ăźles de lumiĂšre, Que cherche par instinct la rĂȘveuse paupiĂšre, Jaillissent par milliers de lâombre qui sâenfuit, Comme une poudre dâor sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sĂšme en tourbillons dans le brillant espace. LâĆil Ă©bloui les cherche et les perd Ă la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels quâun cĂ©leste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en sâouvrant, des gerbes dâĂ©tincelles. Dâautres en flots brillants sâĂ©tendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de lâĂ©cume des mers ; Ceux-lĂ , comme un coursier volant dans la carriĂšre, DĂ©roulent Ă longs plis leur flottante criniĂšre ; Ceux-ci, sur lâhorizon se penchant Ă demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis quâaux bords du ciel de lĂ©gĂšres Ă©toiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port dâun rivage lointain, Brillent sur lâOcĂ©an aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaĂźt le nombre, et la distance, et lâĂąge Les uns, dĂ©jĂ vieillis, pĂąlissent Ă nos yeux ; Dâautres se sont perdus dans les routes des cieux ; Dâautres, comme des fleurs que son souffle caresse, LĂšvent un front riant de grĂące et de jeunesse, Et, charmant lâorient de leurs fraĂźches clartĂ©s, Ătonnent tout Ă coup lâĆil qui les a comptĂ©s. Dans lâespace aussitĂŽt ils sâĂ©lancent⊠et lâhomme, Ainsi quâun nouveau-nĂ©, les salue et les nomme. Quel mortel enivrĂ© de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chĆur suprĂȘme, Ne lâa pas consacrĂ© du nom de ce quâil aime ? Moi-mĂȘme⊠il en est un, solitaire, isolĂ©, Qui dans mes longues nuits mâa souvent consolĂ©, Et dont lâĂ©clat, voilĂ© des ombres du mystĂšre, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-ĂȘtre⊠ah ! puisse-t-il au cĂ©leste sĂ©jour Porter au moins ce nom que lui donna lâamour ! Cependant la nuit marche, et sur lâabĂźme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-mĂȘme avec eux emportĂ©s dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zĂ©phyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; Dâune Ă©cume brillante on voit les monts couverts Fendre dâun cours Ă©gal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues dâazur oĂč le globe se joue, On entend lâaquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mĂąts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gĂ©missements ; Et lâhomme, sur lâabĂźme oĂč sa demeure flotte, Vogue avec voluptĂ© sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, sâil vous lâa dit, oĂč donc allons-nous tous ? Quel est le port cĂ©leste oĂč son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il Ă notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Ăchouant dans la nuit sur quelque vaste Ă©cueil, Semer lâimmensitĂ© des dĂ©bris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur lâancre Ă©ternelle Ă jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus prĂšs de la cĂ©leste voĂ»te, Mondes Ă©tincelants, vous le savez sans doute ! Cet ocĂ©an plus pur, ce ciel oĂč vous flottez, Laisse arriver Ă vous de plus vives clartĂ©s ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vĂ©ritĂ© la lumiĂšre est lâimage. Oui, si jâen crois lâĂ©clat dont vos orbes errants Argentent des forĂȘts les dĂŽmes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritĂ©es, Calme en les Ă©clairant les vagues agitĂ©es ; Si jâen crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la priĂšre, lâamour, Et, quand lâĆil attendri sâentrâouvre Ă leur lumiĂšre, Attirent une larme aux bords de la paupiĂšre ; Si jâen crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beautĂ©, les rĂȘves quâon regrette, Et le vol enflammĂ© de lâaigle et du poĂ«te, Tentes du ciel, Ădens, temples, brillants palais, Vous ĂȘtes un sĂ©jour dâinnocence et de paix ! Dans le calme des nuits, Ă travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, lâamour, la vĂ©ritĂ©, Ces fruits tombĂ©s du ciel, dont la terre a goĂ»tĂ©, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent Ă jamais les enfants de la vie ; Et lâhomme un jour peut-ĂȘtre, Ă ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce quâil a perdu. HĂ©las ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes OĂč notre Ăąme plus libre a des vĆux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, Jâai murmurĂ© tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, Ă©chappant Ă ce globe de boue, Dans la sphĂšre Ă©clatante oĂč mon regard se joue, Jonchant dâun feu de plus le parvis du saint lieu, Ăclore tout Ă coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beautĂ© suprĂȘme, Comme un pĂąle fleuron de son saint diadĂšme ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que jâaimais briller prĂšs de la terre ; Jâaimerais Ă glisser sous la nuit des rameaux, Ă dormir sur les prĂ©s, Ă flotter sur les eaux, Ă percer doucement le voile dâun nuage, Comme un regard dâamour que la pudeur ombrage. Je visiterais lâhomme ; et sâil est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une Ăąme en deuil, un cĆur quâun poids sublime oppresse, RĂ©pandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dĂ©robant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un gĂ©nie inquiet, une active pensĂ©e Par un instinct trop fort dans lâinfini lancĂ©e ; Mon rayon, pĂ©nĂ©trĂ© dâune sainte amitiĂ©, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitiĂ©, Comme un secret dâamour versĂ© dans un cĆur tendre, Sur ces fronts inclinĂ©s se plairait Ă descendre. Ma lueur fraternelle en dĂ©coulant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait Ă leurs yeux Je leur rĂ©vĂ©lerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sĂ©cherais leurs pleurs, et quand lâĆil du matin Ferait pĂąlir mon disque Ă lâhorizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupiĂšre attendrie, Leur laisserait encor la vague rĂȘverie, Et la paix et lâespoir ; et, lassĂ©s de gĂ©mir, Au moins avant lâaurore ils pourraient sâendormir ! Et vous, brillantes sĆurs, Ă©toiles mes compagnes, Qui du bleu firmament Ă©maillez les campagnes, Et, cadençant vos pas Ă la lyre des cieux, Nouez et dĂ©nouez vos chĆurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la cĂ©leste chaĂźne, Je suivrais dans lâĂ©ther lâinstinct qui vous entraĂźne ; Vous guideriez mon Ćil dans ce vaste dĂ©sert, Labyrinthe de feux oĂč le regard se perd Vos rayons mâapprendraient Ă louer, Ă connaĂźtre Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-ĂȘtre ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartĂ©s, Je sentirais en lui⊠tout ce que vous sentez. Avecla dĂ©couverte d'astres qui ne sont pas des Ă©toiles en dehors de notre systĂšme solaire, lâastronomie accomplit un grand pas dans la connaissance des exoplanĂštes : le 12 dĂ©cembre 1984, Mc Carthy fut le premier Ă annoncer la dĂ©couverte d'un tel astre par infrarouges : il l'identifia comme une « naine brune » proche de lâĂ©toile Van Briesbroeck 8PoĂšmeet poĂ©sie â FĂȘte des mĂšres: Une maman : 2eme Primaire Une maman Des milliers dâĂ©toiles dans le ciel, Des milliers dâoiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers dâabeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman.