Misà jour le 9 novembre 2014 à 16h38. Lancée en juillet dernier, « 3nder » permet aux couples et aux célibataires de dégoter un plan à trois. Une appli qui promet de combler ses
Je ne te conseille pas d'aller au-delĂ de tes propres limites, j'essaye juste de te donner un point de vue - Si tu la rejetais, son envie de connaitre 'autre chose' est tellement fort que ce serait aux dĂ©pends de votre relation. Accepter et rester dans le dialogue vous permet de garder ce lien qui vous unit, Ă condition que vous ayez encore des moments intimes entre vous. Si ce qu'elle explore, dĂ©couvre ou ose faire avec lui apporte du renouveau dans votre couple, autant le voir d'un bon oeil. Si tu es en souffrance, tu dois lui exprimer pour qu'elle comprenne les consĂ©quences de ses choix, idĂ©alement sans lui mettre de pression. Si tu as une tendance candauliste, tu peux prendre un certain plaisir Ă la savoir avec un autre - Si tu arrives Ă dĂ©passer les programmations culturelles etc, tu peux apprĂ©cier qu'elle se sente femme et prenne beaucoup de plaisir, physique et cĂ©rĂ©bral, mĂȘme avec un autre. Le stade ultime de l'amour Ă mon sens -D
VesteColumbia Pike Lake II (black) Femme - Avec la veste Pike Lake II de la marque Columbia protĂ©gez-vous du froid avec style grĂące Ă lâisolant synthĂ©tique et la doublure thermo-rĂ©flĂ©chissante qui retiennent la chaleur. Le tissu dĂ©perlant et la capuche intĂ©grĂ©e permettent dâaffronter le mauvais temps en hiver. Avec son matelassage Ă compartiments larges, cette
Ce nâĂ©tait pas par amour que cette jeune femme dâOued Zem sâest mariĂ©e avec Mohamed. CâĂ©tait la mĂšre de celui-ci qui lâavait choisie pour lui. Pour sa part, Mohamed sâest contentĂ© de lui exprimer son envie dâavoir un foyer conjugal et des enfants. Quant Ă la jeune femme, elle nâavait pas le droit de refuser ou dâaccepter un mari. Elle ne devait quâobtempĂ©rer Ă la volontĂ© de ses parents. En fait, les deux familles ont cĂ©lĂ©brĂ© la nuit de noces. Et les deux Ă©poux se sont retrouvĂ©s sous le mĂȘme toit. Certes, la jeune femme essayait de sâadapter Ă sa nouvelle vie dâĂ©pouse. Quant au mari, il passait sa journĂ©e en dehors de chez lui pour gagner sa vie et subvenir aux besoins de sa femme. Au fil des semaines, elle est tombĂ©e enceinte. Mohamed, comme tout autre pĂšre, Ă©tait trĂšs content. Sa femme Ă©tait Ă©galement pleine de joie. AprĂšs neuf mois de grossesse, la jeune femme a mis une belle fillette au monde. Cette aĂźnĂ©e Ă©tait trĂšs mignonne, la princesse du foyer. Sa naissance pouvait-elle faire passer un courant dâamour entre les deux Ă©poux ? Non, comme lâavait prouvĂ© la naissance de la fillette nâa rien changĂ© aux sentiments de la jeune femme. Elle nâa jamais aimĂ© Mohamed. Et pourtant, elle a continuĂ© Ă vivre en sa compagnie malgrĂ© la routine qui tue. Seulement, cette routine va ĂȘtre brisĂ©e par lâapparition dâun jeune homme. Les regards de celui-ci ont croisĂ© ceux de la jeune femme, Ă©pouse de Mohamed, quand elle est sortie de chez elle pour faire des courses. Il sâest approchĂ© dâelle. Elle ne lâa pas empĂȘchĂ© de lui chuchoter quelques mots Ă lâoreille. La jeune femme lui a lancĂ© un beau sourire qui va lâencourager Ă lui exprimer son envie dâavoir une relation amoureuse avec elle. Elle nâa exprimĂ© aucun refus. Au contraire, elle Ă©tait trĂšs heureuse dâen avoir. Ils ont fixĂ© un rendez-vous. Depuis, ils ont commencĂ© Ă se rencontrer, non pas au cafĂ©, ni au parc, mais chez lui. Ils partageaient le mĂȘme lit. Au fil des mois, Mohamed est au courant de sa relation dâadultĂšre. Il nâa pas dĂ©posĂ© de plainte contre elle, il ne lâa pas battue. Bref, il nâa pas rĂ©agi violemment contre elle. Il lâa rĂ©pudiĂ©e. Par la force de la loi, la fillette est restĂ©e en sa compagnie. Celle-ci ne retournait que de temps en temps chez son pĂšre pour passer quelques heures entre ses bras. La fille est Ă son quinziĂšme printemps, une adolescente Ă la fleur de lâĂąge. Elle rendait toujours visite Ă son pĂšre qui nâhĂ©sitait pas Ă la rendre heureuse au moins pour quelques heures par semaine. En fait, elle souriait, rigolait, bavardait quand elle se trouvait en sa compagnie. Seulement, ce sourire a disparu, derniĂšrement, de ses lĂšvres. Câest ce que son pĂšre a remarquĂ©. Il avait remarquĂ© Ă©galement quâelle ne lui adresse plus la parole, quâelle se contentait de lui dire deux ou trois mots et quâelle ne se sentait pas bien dans sa peau. Quâest-ce qui lui est arrivĂ© ? Câest la question que Mohamed a posĂ©e Ă sa fille. La rĂ©ponse Ă©tait comme une bombe qui venait dâexploser Ă son visage. Elle lui a rĂ©vĂ©lĂ© que lâamant de sa mĂšre lâavait violĂ©e. Le pĂšre nâa pas cru ses oreilles. Il lâa conduite aussitĂŽt chez un gynĂ©cologue. Celui-ci lui a livrĂ© un certificat mĂ©dical attestant que la virginitĂ© de la fille avait Ă©tĂ© consommĂ©e violemment. La deuxiĂšme direction du pĂšre Ă©tait le commissariat de police. La mĂšre a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e. Celle-ci a avouĂ© aux enquĂȘteurs avoir cĂ©dĂ© aux dĂ©sirs de son amant, quâelle aime follement, de partager le mĂȘme lit avec sa fille, encore mineure, au point quâil a consommĂ© sa virginitĂ©. Elle a avouĂ© aux enquĂȘteurs que la scĂšne sâest dĂ©roulĂ©e devant ses yeux ! Son amant est encore en fuite.
Pourcette nouvel info de la journĂ©e, je vais vous parler de la vidĂ©o du jour de ce Mercredi 11 Septembre. La scĂšne se passe pendant un mariage (Ăa change !), une jeune mariĂ©e, a dĂ©cidĂ© de piĂ©ger son mari, dans le cĂ©lĂšbre jeu de la jarretiĂšre (Oui, parce que pour moi c'est un jeu !). Les yeux bandĂ©s, le mariĂ© ce lance donc l
VIE DE COUPLE - "L'autre femme", comme on dĂ©signe souvent celle qui est impliquĂ©e dans une liaison adultĂšre, est une expression lourde de sens. Pourtant, il n'existe pas de terme Ă©quivalent pour les hommes. Pourquoi? Des Ă©tudes rĂ©centes montrent que les hĂ©tĂ©rosexuelles qui dĂ©couvrent que leur conjoint les trompe ont tendance Ă rejeter la faute sur l'autre femme plutĂŽt que sur leur partenaire masculin. Mais, on le sait, tout n'est pas si simple. Pour dissiper les mythes sur ce que signifie vraiment le fait d'ĂȘtre "l'autre femme", nous avons demandĂ© Ă six femmes de raconter leur expĂ©rience. La maĂźtresse est-elle toujours la mĂ©chante de l'histoire? Louise*, rĂ©dactrice freelance, 32 ans "Cette relation a laissĂ© chez moi un sentiment d'humiliation." EZRA BAILEY VIA GETTY IMAGES Woman typing as the sun sets behind her. EZRA BAILEY VIA GETTY IMAGES J'ai rencontrĂ© Josh* sur internet. Nous Ă©tions amis, tous deux mariĂ©s avec des enfants. Au dĂ©but, nous parlions peu, mais nous avons fini par avoir des discussions vraiment intĂ©ressantes et profondes sur Facebook. Nous avions beaucoup de choses en commun, nous nous stimulions intellectuellement et nous riions beaucoup. Une connexion s'est créée entre nous, tout simplement. Nous nous sommes soutenus lors de pĂ©riodes difficiles et, les mois passant, j'ai commencĂ© Ă le considĂ©rer comme l'un de mes amis les plus proches. AprĂšs plus d'un an, il est apparu que nous Ă©tions secrĂštement amoureux l'un de l'autre. Avec rĂ©ticence, nous avons admis que nous Ă©prouvions des sentiments forts l'un pour l'autre, mais nous pensions aussi qu'il n'Ă©tait pas envisageable de les explorer. Pour lui comme pour moi, l'infidĂ©litĂ© Ă©tait contraire Ă nos valeurs. Nous avons donc Ă©laborĂ© un plan pour prendre de la distance et nous consacrer Ă nos mariages respectifs. Ăa a Ă©tĂ© atroce. Nous Ă©tions les meilleurs amis du monde, nous nous aimions et nous voulions ĂȘtre ensemble, mais il nous semblait impossible de le faire sans dĂ©truire nos conjoints et nos enfants. Il avait l'impression d'avoir rencontrĂ© la femme de ses rĂȘves, mais quelques annĂ©es trop tard. Ăa semblait tellement injuste et insupportable. Nous Ă©tions trĂšs malheureux. Ă cette Ă©poque, je ne me voyais pas comme "l'autre femme" car nous n'avons jamais pensĂ© laisser les choses aller si loin. J'ai fini par me sĂ©parer de mon mari. Je ne pouvais pas rester mariĂ©e Ă lui en sachant les sentiments que j'Ă©prouvais pour Josh. Avec le temps, cette relation adultĂšre a dĂ©passĂ© la sphĂšre Ă©motionnelle pour devenir physique. Nous avons connu une brĂšve pĂ©riode de bonheur. Nous faisions l'amour, nous nous serrions dans les bras. Nous allions Ă la plage main dans la main et avions un avant-goĂ»t de ce que pourrait ĂȘtre la vie ensemble. Et puis il est retournĂ© chez sa femme. Il Ă©tait persuadĂ© que, pour les enfants, c'Ă©tait mieux qu'il reste avec elle. Il m'a dit ĂȘtre prĂȘt Ă sacrifier son bonheur pour celui de ses enfants. Quand il a avouĂ© Ă sa femme avoir couchĂ© avoir moi, elle m'a appelĂ©e, furieuse, et m'a dit des choses trĂšs cruelles. Je l'ai laissĂ©e faire car je me suis dit que je lui devais bien ça. J'aimais Josh au-delĂ de l'exprimable, mais une partie de moi le dĂ©testait aussi pour sa lĂąchetĂ©. Ăa m'a dĂ©truite et cette relation a laissĂ© chez moi un sentiment d'humiliation, l'impression que je ne vaux rien et qu'il n'y a rien Ă espĂ©rer. Tout ce qu'il ma lĂ©guĂ©, c'est un tas de questions sans rĂ©ponse. Je n'ai plus aucune certitude, les fondements mĂȘme de ce que je suis sont en miettes et j'essaie dĂ©sespĂ©rĂ©ment de trouver un sens Ă tout cela. Si mon cĆur a pu se tromper sur cette relation, je ne sais pas comment je pourrai me faire Ă nouveau confiance. Anita*, rĂ©dactrice d'appels d'offres, 54 ans "J'ai Ă©tĂ© bĂȘte de croire que je serais un jour sa compagne." ANTONIO KRMER / EYEEM VIA GETTY IMAGES ANTONIO KRMER / EYEEM VIA GETTY IMAGES Nous travaillions dans le mĂȘme bureau. Juste avant les fĂȘtes de NoĂ«l, en 2008, il m'a demandĂ© de le suivre jusqu'Ă sa voiture oĂč il avait une carte et un cadeau pour moi. J'Ă©tais choquĂ©e car on se connaissait peu, mais je me suis dit que c'Ă©tait impoli de refuser je venais de vivre une rupture et Ă©tais dans cette phase oĂč l'on est vulnĂ©rable et ne rĂ©flĂ©chit pas. De toute façon, sa voiture Ă©tait sur le chemin de la mienne, alors je l'ai suivi. Il a sorti de son coffre une bouteille de Veuve Clicquot, accompagnĂ©e d'une carte. Une fois Ă la maison, j'ai lu la carte et j'ai eu un moment de panique. Je l'ai dĂ©chirĂ© et je l'ai jetĂ©e, mais j'ai gardĂ© la bouteille. La carte disait simplement "Ne fais pas trop d'excĂšs Ă NoĂ«l. Prends soin de toi" ou quelque chose de ce genre, mais ça m'a mise mal Ă l'aise. Les choses en sont restĂ©es lĂ jusqu'Ă ce qu'on se retrouve Ă travailler sur le mĂȘme projet en mars 2009. Vers le mois d'avril, il a commencĂ© Ă me proposer d'aller boire un cafĂ© avec lui. Je ne savais pas s'il Ă©tait mariĂ©. Je pensais que oui, mais il n'avait jamais parlĂ© de sa femme, alors je me demandais s'il avait des problĂšmes dans son couple ils Ă©taient peut-ĂȘtre en train de se sĂ©parer. Peut-ĂȘtre Ă©tait-elle malade? Il n'avait pas l'air de ces mecs qui cherchent Ă s'amuser ou Ă draguer. La curiositĂ© a fini par l'emporter et, un jour de mai, j'ai acceptĂ© de prendre un cafĂ© avec lui. Je ne le trouvais pas sĂ©duisant et je n'avais pas de dĂ©sir pour lui. AprĂšs plusieurs cafĂ©s au dĂ©jeuner, il m'a proposĂ© de nous voir un samedi. Jusque-lĂ , nous n'avions parlĂ© que du travail et je ne savais toujours rien sur sa vie privĂ©e. Je brĂ»lais de curiositĂ© que cherchait-il? CĂŽtĂ© personnel, je vivais une pĂ©riode difficile. Ălever seule trois adolescents n'est pas une sinĂ©cure. Alors j'ai acceptĂ©. On a passĂ© un super moment ensemble! Il m'a emmenĂ©e Ă Londres, oĂč nous avons fait une balade Ă St James' Park suivie d'un pique-nique aux fraises et au champagne j'avais gardĂ© son cadeau de NoĂ«l. Puis nous avons dĂźnĂ© dans un trĂšs bon restaurant et sommes allĂ©s au théùtre. Je n'en revenais pas. Au fil du temps, il m'a Ă©coutĂ©e me plaindre de mes problĂšmes d'argent, des enfants et de tout le reste, sans jamais me juger. Il m'a aidĂ©e Ă rĂ©ussir ma vie, il m'a conseillĂ©e et soutenue comme mĂȘme mes propres parents ne l'avaient jamais fait. Le moteur de notre histoire n'a jamais Ă©tĂ© le sexe mais son envie de partager des choses avec quelqu'un. Je crois qu'il reste mariĂ© uniquement parce qu'il voit le divorce comme un Ă©chec. Mais qui sait? Je ne me suis jamais sentie comme Ă©tant sa maĂźtresse. Quand j'ai fini par lui demander s'il Ă©tait mariĂ©, il a rĂ©pondu "Tu sais bien que oui." Je n'ai plus voulu poser de questions. Je sais, c'est stupide, mais sur le moment, on n'arrive pas Ă penser de façon rationnelle. Au bout d'un moment, j'ai fini par ne plus supporter de garder le secret sur tout ce que nous faisions ensemble, mais il me rassurait toujours en disant que les gens ne s'intĂ©ressent qu'Ă eux-mĂȘmes. Et il avait raison quand un collĂšgue de bureau me demandait ce que j'avais fait le week-end, il suffisait de lui retourner la question. Il se mettait alors Ă parler de lui, ce qui m'Ă©vitait de rĂ©pondre et prĂ©servait notre secret. Il s'accroche toujours et moi, je m'Ă©loigne doucement. Ăa fait huit ans que ça dure et j'ai enfin compris. Sa femme n'a jamais Ă©tĂ© malade et il n'a jamais vĂ©cu de sĂ©paration traumatisante. J'Ă©tais complĂštement stupide de croire que je serais un jour sa compagne. Les hommes mariĂ©s sont des connards. Ne rejetez jamais la responsabilitĂ© sur l'autre femme. Saskia*, chargĂ©e des relations publiques, 25 ans "Il Ă©tait comme une drogue pour moi." ECLIPSE_IMAGES VIA GETTY IMAGES Young woman at hairdresser ECLIPSE_IMAGES VIA GETTY IMAGES Il Ă©tait coiffeur visagiste et nous nous sommes rencontrĂ©s quand je suis venue lui demander conseil. J'ai tout de suite Ă©tĂ© attirĂ©e par lui. Nous avons Ă©changĂ© nos numĂ©ros car j'avais des questions sur ma coupe. Pendant les semaines qui ont suivi le rendez-vous, je n'arrĂȘtais pas de penser Ă lui. Lors d'une soirĂ©e, j'ai fini par lui envoyer un SMS, mais je lui ai dit le lendemain que je n'aurais pas dĂ» car j'Ă©tais en couple. MalgrĂ© cela, nous avons continuĂ© Ă nous envoyer des messages. Sur le moment, je n'avais pas compris qu'il Ă©tait mariĂ©. Je l'ai su plus tard, en cherchant des informations sur internet. J'ai aussi appris qu'il avait dix ans de plus que moi. Pourtant, mĂȘme en sachant que c'Ă©tait mal, je n'arrivais pas Ă arrĂȘter de lui Ă©crire, il Ă©tait comme une drogue pour moi. Quelques semaines plus tard, nous avons fini par nous voir et coucher ensemble. Le lendemain, j'ai rompu avec mon petit ami et je lui ai dit qu'il fallait qu'on arrĂȘte de se parler. Environ une semaine aprĂšs, je lui ai envoyĂ© un message et nous avons recommencĂ©. Ăa fait trĂšs clichĂ©, mais dĂšs l'instant oĂč je l'ai vu, j'ai Ă©tĂ© complĂštement Ă©branlĂ©e. Je n'avais jamais rien ressenti d'aussi intense face Ă quelque chose ou quelqu'un. Lors de nos rendez-vous, je tremblais littĂ©ralement de tout mon corps. Il m'obsĂ©dait. Je dĂ©testais ĂȘtre "l'autre femme". Je savais que je ne voulais pas ĂȘtre en couple dans l'immĂ©diat et je crois que l'infidĂ©litĂ© a Ă©tĂ© la cerise sur le gĂąteau, mais j'Ă©tais malheureuse dans mon couple depuis longtemps. J'aimais rĂ©ellement cet homme et quand il disparaissait pendant de longues pĂ©riodes, savoir qu'il Ă©tait avec sa femme, Ă jouer au couple parfait, me blessait Ă©normĂ©ment. Il me demandait rĂ©guliĂšrement si j'Ă©tais prĂȘte Ă l'Ă©pouser et me disait que j'Ă©tais belle. Plus ça durait, plus je me laissais embobiner. Je me souviens qu'un jour, ivre, je lui ai dit qu'il Ă©tait ma personne prĂ©fĂ©rĂ©e sur terre je ne lui ai jamais dit "je t'aime", c'Ă©tait la seule chose que j'arrivais Ă contrĂŽler. Le lendemain, quand il m'a demandĂ© si je pensais ce que j'avais dit, j'ai changĂ© de sujet en mettant ça sur le compte de l'alcool et de l'Ă©motivitĂ©. Quelques jours plus tard, il m'a avouĂ© ressentir la mĂȘme chose. Cette situation me retournait complĂštement le cerveau, surtout quand il annulait nos rendez-vous, comme cela arrivait quelquefois, avant de revenir vers moi. Il me disait qu'il me protĂ©gerait et qu'il serait toujours lĂ pour moi dans les moments difficiles. MĂȘme si je savais que c'Ă©tait faux, je voulais y croire. Je pense que ça ne m'a pas aidĂ©e d'entendre, dans toutes les conversations sur les relations adultĂšres, que c'est la femme qui a toujours tort. On la disait mĂ©chante, vindicative, manipulatrice... Je ne sais mĂȘme pas combien de nuits j'ai passĂ© en larmes Ă cause de cet homme, du problĂšme moral que ça me posait et du fait qu'il Ă©tait avec quelqu'un d'autre et non avec moi. Il Ă©tait plus ĂągĂ© que moi, beau et charmant, un adulte capable de prendre ses propres dĂ©cisions. Bien sĂ»r que ce que j'ai fait est mal, mais savoir que les gens rejetteraient toute la responsabilitĂ© sur moi remettait vraiment en question celle que j'Ă©tais. Seules trois de mes amies Ă©taient au courant. Cette expĂ©rience m'a donc beaucoup isolĂ©e des autres. Au bout d'un moment, j'ai dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter de le voir. Il continuait de rĂ©agir Ă mes publications et de me suivre sur les rĂ©seaux sociaux et, de temps en temps, je craquais et je lui parlais. J'ai dĂ» finir par le bloquer pour ne pas perdre la tĂȘte. Emma, coach Ă©ducative, 27 ans "Nous avons ensemble deux superbes enfants." MIODRAG IGNJATOVIC VIA GETTY IMAGES Blond boy swinging on the playground,rear view MIODRAG IGNJATOVIC VIA GETTY IMAGES Nous nous sommes rencontrĂ©s sur Twitter. Au dĂ©but, nous Ă©changions des petites conversations en nous limitant aux 140 caractĂšres, puis nous sommes passĂ©s aux messages directs et aux SMS. Nous parlions de choses et d'autres, puis nous avons dĂ©couvert que nous avions des amis, et donc quelques intĂ©rĂȘts, en commun. Nous nous voyions en amis, autour d'un verre, d'un cafĂ© ou d'un repas, jusqu'au moment oĂč nous nous sommes rendu compte qu'il y avait entre nous plus que de l'amitiĂ©. Je savais qu'il Ă©tait en couple, mais il me racontait qu'il n'Ă©tait pas heureux et qu'elle habitait Ă deux heures de route. Je suis passĂ©e du statut d'amie Ă celui de maĂźtresse environ quatre mois aprĂšs l'avoir connu. La premiĂšre fois que nous nous sommes vus, nous n'avons pas ressenti d'attirance physique. On s'entendait juste trĂšs bien et on avait l'impression de se connaĂźtre depuis des annĂ©es. Il Ă©tait gentil et marrant, toujours lĂ pour moi. Nous sommes rapidement tombĂ©s amoureux l'un de l'autre et nous l'avons admis au bout de quelques mois, mais je n'Ă©tais pas prĂȘte Ă m'engager dans une relation. Ă partir de lĂ , les choses se sont un peu dĂ©gradĂ©es car je ne souhaitais pas continuer Ă jouer le rĂŽle de la maĂźtresse. Au dĂ©but, ça ne me dĂ©rangeait pas. Je ne souhaitais pas ĂȘtre en couple, alors j'Ă©tais satisfaite de cet Ă©tat des choses. Mais dĂšs que j'ai su que j'avais des sentiments pour lui, ça ne m'allait plus. Je ne voyais pas pourquoi je devais ĂȘtre un secret dans sa vie et pourquoi nous ne pouvions pas ĂȘtre ensemble. Il a aussi eu du mal Ă accepter la situation et a mis un certain temps six mois Ă rompre son autre relation pour que la nĂŽtre puisse avancer. Aujourd'hui, ça fait huit ans que nous nous connaissons, sept ans que nous sommes officiellement en couple et six ans que nous vivons ensemble. Nous avons deux superbes enfants de quatre ans et neuf semaines, deux chats et un chien. Alors je crois pouvoir dire que ce n'est pas toujours si affreux, d'ĂȘtre l'autre femme! Vicky, blogueuse, 36 ans "Je me suis sentie horriblement mal en rĂ©alisant que j'Ă©tais la maĂźtresse de cet homme." MIXMIKE VIA GETTY IMAGES Teenage girl feeling depressed after breaking up with her boyfriend through messages MIXMIKE VIA GETTY IMAGES J'ai Ă©tĂ© dans la position de la maĂźtresse deux fois dans ma vie, et les deux fois je ne l'ai compris que plus tard. La premiĂšre fois, ça s'est passĂ© avec un collĂšgue qui m'envoyait des e-mails et m'appelait au bureau sans raison. Il m'a dit qu'il Ă©tait mariĂ© mais qu'il avait des rapports platonique avec sa femme, qu'ils ne s'Ă©taient mariĂ©s qu'Ă cause de la pression familiale, qu'ils n'avaient plus les moyens de divorcer ou de vendre leur maison et Ă©taient donc coincĂ©s dans une relation moribonde. Je l'ai cru et je suis sortie avec lui plusieurs fois, mais j'ai fini par arrĂȘter parce qu'il n'Ă©tait pas fiable et que les excuses qu'il me donnait pour justifier ses faux bonds n'Ă©taient pas trĂšs crĂ©dibles. AprĂšs avoir arrĂȘtĂ© de le voir, un ami qui travaillait dans son service m'a dit qu'il Ă©tait toujours avec sa femme et qu'il racontait qu'il couchait avec une nouvelle minette. C'Ă©tait terrible, mais je sais que je n'Ă©tais ni la premiĂšre ni la derniĂšre avec qui il a trompĂ© sa femme, qui a fini par le quitter quelques annĂ©es plus tard. La deuxiĂšme fois que ça m'est arrivĂ©, c'Ă©tait avec le gĂ©rant d'un petit hĂŽtel attenant Ă l'un des pubs oĂč je travaillais. Un soir, nous sommes sortis ensemble et avons fini dans cet hĂŽtel parce que c'Ă©tait plus prĂšs que d'aller chez lui ou chez moi. Peu de temps aprĂšs, son patron est parti en vacances plusieurs semaines et mon amant s'est installĂ© Ă l'hĂŽtel pour s'en occuper en son absence. Il m'a invitĂ©e Ă passer du temps avec lui lĂ -bas et j'ai acceptĂ©. Ensuite, l'histoire s'est en quelque sorte essoufflĂ©e car je trouvais ça Ă©trange qu'il veuille me voir seulement Ă l'hĂŽtel ou au bar de l'hĂŽtel. Et puis un jour, quelqu'un m'a tĂ©lĂ©phonĂ© en me demandant si je couchais avec ce type. Quand j'ai voulu savoir qui c'Ă©tait, elle m'a rĂ©pondu "Sa fiancĂ©e." AprĂšs avoir raccrochĂ©, j'ai essayĂ© de l'appeler lui, mais sans rĂ©sultat. Je lui ai alors demandĂ© par message pourquoi sa fiancĂ©e m'appelait. En rĂ©ponse, il m'a suppliĂ©e de lui dire que je ne le connaissais pas. Ă ce moment-lĂ , elle semblait comprendre que j'avais Ă©tĂ© autant bernĂ©e qu'elle, mais par la suite, elle s'est un peu dĂ©chaĂźnĂ©e en me harcelant sur Facebook et en clamant que je volais les hommes des autres. Une chose est sĂ»re je n'ai pas de chance ni aucun discernement en matiĂšre d'hommes. Je me suis sentie horriblement mal en rĂ©alisant que j'avais Ă©tĂ© la maĂźtresse de cet homme. Dans ce genre de situations, on a tendance Ă rejeter la responsabilitĂ© sur la femme qui a "sĂ©duit" l'homme d'une autre, mais je n'avais sincĂšrement aucune idĂ©e de ce qui se passait jusqu'Ă ce qu'il soit trop tard. Ăa m'a rendue plus tolĂ©rante de la nature de la situation et de ce que vivait l'autre femme quand j'ai Ă©tĂ© trompĂ©e quelques annĂ©es plus tard. J'ai alors rĂ©alisĂ© qu'elle s'Ă©tait sans doute autant fait embobiner que moi. Amaani, Ă©tudiante en droit, 25 ans "Je savais que cet homme pourrait me protĂ©ger." PEOPLEIMAGES VIA GETTY IMAGES Closeup shot of two people holding hands in comfort PEOPLEIMAGES VIA GETTY IMAGES J'Ă©tais une jeune fille de 19 ans, je venais des Maldives et je venais de dĂ©crocher un poste en ville, oĂč Hassan* Ă©tait cadre supĂ©rieur. Ă cette Ă©poque, je sortais avec mon petit ami du lycĂ©e, qui Ă©tait possessif et me laissait rarement sortir sans lui. Son sentiment d'insĂ©curitĂ© et sa jalousie ont entraĂźnĂ© des disputes. La plupart du temps, il finissait par me frapper, parfois jusqu'au point de me laisser des griffures et des bleus. Les premiers mois de mon travail, j'ai gardĂ© mes distances avec Hassan, mais il a essayĂ© d'engager la conversation aprĂšs avoir su que je voulais faire carriĂšre dans les ressources humaines. Les choses ont commencĂ© Ă changer en avril 2008, quand on a dĂ©couvert un cancer du sein chez ma mĂšre. Mes parents sont rapidement partis en Inde pour la soigner. C'Ă©tait trĂšs dur pour moi de me retrouver sans ma mĂšre. J'ai alors laissĂ© Ă mon petit ami un rĂŽle et un pouvoir de contrĂŽle encore plus importants dans ma vie. Je ne saurais pas vraiment dire comment a dĂ©marrĂ© ma relation avec Hassan. Un jour, il a su pour ma mĂšre et il m'a demandĂ© de venir le voir dans son bureau. Il m'a proposĂ© de prendre des congĂ©s pour aller la voir, mais j'ai refusĂ©. Il m'a demandĂ© s'il pouvait faire quoi que ce soit pour m'aider, mais j'ai dit non. Il a trouvĂ© mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone et a commencĂ© Ă prendre rĂ©guliĂšrement de mes nouvelles par SMS. Il avait 34 ans et, bien sĂ»r, il Ă©tait mariĂ©. Ces conversations secrĂštes mettaient du piquant dans ma morne vie de recluse. Il a commencĂ© Ă se confier Ă moi en me disant qu'il Ă©tait malheureux dans son mariage, qu'il voulait un enfant mais que sa femme n'Ă©tait pas prĂȘte. Puis, il a commencĂ© Ă vouloir m'acheter des choses. Il me demandait tout le temps ce que je voulais, ce dont j'avais besoin. Des vĂȘtements? Du maquillage? Des chaussures? Un nouveau tĂ©lĂ©phone? Peu Ă peu, je l'ai laissĂ© faire. Ă ce stade, je me disais que c'Ă©tait le moyen de m'Ă©chapper de mon couple. Je savais que cet homme pourrait me protĂ©ger. Alors, un jour, j'ai annoncĂ© Ă mon petit ami que je voulais rompre. Ăvidemment, il a piquĂ© une crise, mais il a fini par partir Ă contrecĆur. J'ai continuĂ© de voir Hassan. Nous avons commencĂ© Ă nous voir le soir, Ă faire des balades en voiture et Ă manger dans des restaurants chics. Chaque semaine, il me donnait de l'argent pour que je m'achĂšte ce que je voulais. J'Ă©tais ravie. J'avais enfin la vie dont je rĂȘvais une vie de princesse choyĂ©e. Quand il m'a achetĂ© le dernier iPhone, j'Ă©tais dingue de joie. Je rĂ©pĂ©tais Ă tout le monde qu'il allait quitter sa femme et m'Ă©pouser. J'ai poursuivi cette relation sans rĂ©flĂ©chir. Nos rendez-vous secrets se sont lentement transformĂ©s en tĂȘte-Ă -tĂȘte clandestins dans un appartement. En fait, c'Ă©tait ça, son objectif. Une fois qu'il a eu ce qu'il voulait, il m'a laissĂ©e tomber comme une vieille chaussette, sans un mot d'explication. Il est restĂ© encore quelque temps avec sa femme, mais elle en avait assez. Elle a demandĂ© le divorce quelques mois plus tard et, d'aprĂšs ce que je sais, elle s'est remariĂ©e. Cinq ans aprĂšs, lui aussi s'est remariĂ© et a eu un fils. Quant Ă moi, je suis en quatriĂšme annĂ©e de droit en tant qu'Ă©tudiante Ă©trangĂšre Ă l'universitĂ© de Londres et je travaille pour mon beau-frĂšre dans une entreprise privĂ©e. Je me dis que tout cela n'est pas arrivĂ© pour rien, que l'univers avait de meilleurs plans pour moi que de rencontrer un homme et de l'Ă©pouser. Je suis intelligente et j'ai de bonnes notes en classe. Je vais terminer mes Ă©tudes de droit et faire mon possible pour devenir l'une des meilleures avocates de ce pays. *Tous les prĂ©noms suivis d'un astĂ©risque ont Ă©tĂ© changĂ©s par respect de l'anonymat. Ce blog, publiĂ© Ă l'origine surle HuffPost britannique, a Ă©tĂ© traduit par Valeriya Macogon pour Fast for Word. Ă voir Ă©galement sur Le HuffPost
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Par dans Amour et sĂ©duction Mis Ă jour le 17 aoĂ»t 2019 , Lu 17666 fois Lâune des questions que les gens se demandent trĂšs souvent est pourquoi les hommes noirs prĂ©fĂšrent les femmes blanches », oubliant aussi que les femmes blanches prĂ©fĂšrent beaucoup plus les hommes noirs⊠A chaque annĂ©e, des milliers des femmes blanches dĂ©barquent en Afrique subsaharien Ă la cherche de leurs princes charmants, des hommes noirs. Pourquoi alors la femme blanche laisse lâhomme blanc en occident, qui est parfois financiĂšrement construit, pour aller chercher un black en Afrique ? Cet article a Ă©tĂ© Ă©crit pour Ă©lucider le mystĂšre. Lâhomme noir est trop gĂ©nĂ©reusement gĂątĂ© par la nature Mythe ou rĂ©alitĂ© ? On raconte partout dans le monde que lâhomme noir est dotĂ© dâun engin dâun gros calibre. Et puisque les femmes, surtout les blanches, sont naturellement attirĂ©es par les hommes trop gĂ©nĂ©reusement gĂątĂ©s par la nature, la femme blanche aime alors avoir un homme noir dans son lit. Lâhomme noir est Ă la fois charmeur, doux et vilain garçon Quand il sâagit dâaborder les femmes, lâhomme noir est quelquâun de plus confiant. Il sait aussi charmer les femmes grĂące Ă son assurance et sa bontĂ©. Il donne autant dâaffection et du respect Ă la femme. IL est aussi un homme protecteur. Ajouter Ă cela le fait quâil soit un vilain garçon, lâhomme noir est lâhomme dont la plupart des femmes rĂȘvent avoir Ă leurs cĂŽtĂ©s. Un vilain garçon ne signifie pas ici un garçon moche. Il sâagit dâun homme qui sait imposer des limites. Il ne sâabaisse pas devant quelquâun ou une femme pour faire plaisir. Il dit non quand il le faut. Câest un homme responsable. Bref, lâhomme noir est un vrai homme qui sait prendre ses propres dĂ©cisions. Il ne se laisse pas dicter sa conduite. En plus de cela, il sait aimer et protĂ©ger sa dulcinĂ©e ; et les femmes adorent ça. Et comme lâa dit Maire Pehkone, une suĂ©doise qui nâaime vivre lâamour quâavec des hommes noirs lâhomme noir est trĂšs gentil⊠» Quand il sâagit dâune femme blanche, lâhomme noir sâen fiche de lâĂąge Câest bien connu chez les mamies blanches. Les hommes noirs sont des gens trĂšs reconnaissants. Et la plupart des jeunes africains souhaitent quitter le continent pour une vie meilleur en Europe. Ils sont donc prĂȘts Ă aimer, chĂ©rir, et mĂȘme sâengager avec des vieilles blanches si cela leur permettra dâavoir le ticket pour lâEurope. Beaucoup des vielles femmes blanches veulent profiter de la vie. Elles veulent ĂȘtre aimĂ©es et se sentir aimĂ©es. Et elles savent que les jeunes blacks peuvent leurs offrir de lâamour. Câest pour ça quâelles prĂ©fĂšrent partir chercher leurs anges gardiens en Afrique.
Ellenâa jamais aimĂ© Mohamed. Et pourtant, elle a continuĂ© Ă vivre en sa compagnie malgrĂ© la routine qui tue. Seulement, cette routine va ĂȘtre brisĂ©e par lâapparition dâun jeune homme. Les regards de celui-ci ont croisĂ© ceux de la jeune femme, Ă©pouse de Mohamed, quand elle est sortie de chez elle pour faire des courses.
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il offre un black a sa femme